La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1541)

Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1540) -

Chapitre 13 bis : Une mise au point nécessaire ! -

Enfin, j’étais sous la douche… j’y restais un bon quart d’heure. En sortant, devant le miroir, je regardais mes fesses, mon dos. Des stries nettes, rougeâtres marquaient très nettement mon corps. Contrairement à ce que j’avais craint au départ, j’étais plutôt fier de les voir encore, de sentir ma chair meurtrie. Ces marques me rappelaient ce moment intense, ce "supplice" vécu, cet abandon total, cette concession faite à Monsieur le Marquis… Oui, j’étais fier et digne de les porter, puisque le Châtelain avait jugé bon d’imprimer mes chairs en faisant de moi Son esclave. Ce soir, je m’assumais tel que j’étais. Pendant que je m’épongeais, j’entendais un bip sur mon téléphone, annonçant un SMS. Je me précipitais.

« En tout temps, en tout lieu, avec quiconque, reste humble et respectueux, ne laisse jamais transparaitre ton agacement, ni ta nervosité, tu n’es qu’un esclave ! Demain onze heures je te veux au Château. Signé Le Maître »

Monsieur le Marquis avait sans doute écouté ma conversation téléphonique avec Charles, à juste titre il me recadrait. Je n’avais pas été très sympathique avec ce brave homme. Je me couchais enfin, sans manger car éreinté et m’endormais aussitôt… Ce matin, c’était top chrono : 6 heures réveil ; 6 h 15 comptabilité, bulletin de salaire et chèque pour Charles ; 7 heures, une enveloppe à Louise, quelques centaines d’euros, pour la remercier de ses aides régulières ; 7 h 15 un aller-retour chez Louise et Charles ; 7 h 25 petit déjeuner ; 7 h 45 devant mon ordinateur pour écrire ces deux pages de récit commandées par le Maitre ; 9 h 45 envoie de mon mail ; 10 heures, douche ; 10 h 35 dans ma voiture. Ouf, à 10 h 55 je me présentais devant le portail du Château, à 10 h 58 je me dirigeais pour rejoindre la cellule qui m’était affectée.

A 11 heures précises, Madame Marie, la sévère et sadique cuisinière me cueillait par un bras et m’entrainait dans un box dans lequel deux autres soumis, un homme et une femme forniquaient à quatre pattes.

- Toi, la pute, à genoux sans bouger, mains sur la tête. Je finis avec ce chien et cette chienne et m’occupe de toi !

La soumise, petite et chétive, une quarantaine d’année, brune, cheveux courts, petits seins annelés se laissait malmener en geignant à chaque coup de butoir donné par cet homme, la soixantaine, carré, robuste, les cheveux hirsutes, les yeux révulsés, la bouche entrouverte.

- Vas-y Marcel le chien, bourre là, bourre-là bien cette petite garce, je veux l’entendre couiner, je veux qu’elle sache ce qu’une bonne et grosse bite comme la tienne peut faire d’elle !

Marcel avait dit Madame Marie, était-ce le fameux Marcel qui vinifiait le vin de la propriété ? Cet homme que connaissait Charles, celui que je souhaitais rencontrer ? Si c’était bien lui, ce n’était pas qu’un vinificateur, il forniquait durement, bestialement, tenant de ses grosses mains calleuses, les hanches de cette femme fluette qui maintenant geignait et demandait pitié.

- Pas de pitié pour les salopes, tu n’es qu’une chienne en chaleur, rien d’autre qu’une trainée, vas-y Marcel, baisse-là plus fort encore !, hurlait Madame Marie

J’assistais à ce coït bestial, profond, extrême, sans bouger, sans bruit, avec un objectif précis, me faire oublier ! C’était sans compter sur la forte perversité de Madame Marie… De temps à autre, elle se saisissait de ma chevelure, tirait ma tête en arrière et me donnait à sucer son majeur humide sortant tout juste du cul de Marcel, entre deux fortes volées de cravache sur son fessier. J’y goûtais toutes les saveurs de ma déchéance… La cuisinière me toisait d’un rictus sadique et cynique, sans aucun affect, un regard sans la moindre émotion, les yeux vifs mais sans compassion, une attention déterminée pour me laminer, me casser, me briser davantage, pour tester ma capacité à l’obéissance, pour constater ma déliquescence, pour me rabaisser et assoir sa supériorité… Je ne doutais plus depuis la première rencontre avec la cuisinière qu’elle était une puissante Dominatrice hors norme et j’en avais encore une réelle démonstration… Elle avait quasiment tout pouvoir sur les dominés (ées) du Château et avec l’accord de Monsieur le Marquis, elle ne se privait pas de se défouler, de laisser s’exprimer ses incroyables pulsions de sadisme, de perversité, de débauches, d’autorité, de supériorité… Marcel jouissait, il râlait bruyamment, telle une bête sauvage en rut, son corps tétanisé marqué par quelques soubresauts, sa grosse bite logée au plus profond de ce vagin soumis, il venait de s’envoyer en l’air sans se préoccuper de celle qu’il venait de baiser sous la cravache de Madame Marie.
Doucement il retirait ses mains des hanches de cette femme soumise, elle se dégageait lentement de ce membre poisseux et encore turgescent pour s’affaler au sol et ne plus bouger. Evidemment ce qui devait arriver, arriva… A quatre pattes devant cette queue semi rigide et souillée de cyprine et de sperme, sur ordre clair, net et précis, mes lèvres, ma bouche nettoyait ce membre, faisant disparaitre toutes les traces de cet assaut infernal, bestial.

- Il parait que tu sais y faire maintenant ?, m’interrogeait Madame Marie.

Evidemment, je ne comprenais pas le sens de cette question. Je restais tête basse, ahuri, tel un retardé mental. Une nouvelle fois, les doigts de la cuisinière du Château s’agrippaient à ma chevelure pour me faire avancer en quadrupédie près de cette femme soumise.

- Retourne-toi salope !, exigeait Madame Marie en poussant d’un coup de pied contre l’épaule de celle venant de se faire malmener et baiser.

A grand peine, celle-ci se déplaçait et bougeait, offrant à mon regard, son sexe encore meurtri, d’une couleur rouge écarlate, dégoulinant encore de quelques gouttes de semence.

- Va récurer cette chatte, élimine toutes ces traces avec ta langue de pute !

J’hésitais un instant, seulement un instant, alors pour m’activer à la tâche, Madame Marie venait d’empoigner mes couilles et commençait à presser mes testicules, l’un contre l’autre, sévèrement… Quelle ignominie, quelle infamie ! Ma bouche se plaquait contre celle vulve détrempée, j’éprouvais un sentiment de honte, de dégoût. Dans la complexité de mes émotions, j’œuvrais, broutais cette chatte, le bout de ma langue collectait ces sécrétions vaginales mélangées au sperme de Marcel, que j’avalais. Ecœuré, je n’éprouvais aucune effervescence, aucune forme d’ivresse. La soumise, elle, commençait à réagir à mes caresses buccales, son bassin ondulait, elle soupirait, geignait doucement, ânonnait des mots incompréhensibles. A cet instant seulement, naissant en moi, un regain d’excitation, ma nouille pulsait dans cet étui inconfortable.


- Ça suffit, tu ne vas tout de même pas faire jouir cette petite garce qui ne mérite pas un orgasme !

J’étais stoppé dans mon élan, dans mon exaltation. J’étais presque heureux et fier que cette soumise ait réagi à mes stimulations, satisfait de la mise en pratique des enseignements donnés la veille par Monsieur le Marquis... Madame Marie tirait sur mes couilles pour me faire reculer, pour déloger ma bouche ventousée à ce sexe béant. Je couinais à mon tour tant la pression était rude et impérieuse.

- Allez suis-moi esclav’alex ! Quant à toi Marcel, le chien, tu as pour exigence de rebaiser cette catin dès que tu rebanderas de sa bouche, car elle va te sucer pour que tu la rebaisse encore et encore, jusqu’à que tu aies les couilles entièrement vidées de ton foutre… Et toi la femelle salope, pas question de jouir, c’est juste Marcel dans ta chatte de putain, j’ai dit…

Puis nous quittions la pièce… Toujours tenu sévèrement par mes attributs masculins, Madame Marie m’entrainait ainsi, m’obligeant à marcher à reculons, courbé, dans ce couloir sombre. Ma démarche était loin d’être instinctive. Heureusement, pas très loin, elle me faisait entrer dans une pièce dans laquelle se trouvait une longue et large table recouverte d’un simili cuir. Elle m’ordonnait de me coucher au centre de celle-ci, sur le dos. Sitôt fait, elle entravait mes bras et jambes, de façon à ce que mes membres soient tenus largement écartés. Elle me laissait là quelques instants, revenait avec une bassine remplie d’eau chaude, qu’elle déposait entre mes cuisses écartées. Elle ôtait ma cage de chasteté.

- Je t’ai vu effeuiller la vigne l’autre jour, à moi d’effeuiller ton corps de chien ! me lançait-elle avec un rictus pervers.

La cuisinière tenait en mains, tondeuse, rasoir, mousse à raser. Sans crier gare, elle me tondait les quelques poils que j’avais sur la poitrine puis les aisselles, me rasait le pubis, ma nouille et enfin le scrotum qu’elle manipulait avec dextérité, une vraie professionnelle en la matière.
Pour raser ma raie anale elle m’avait détaché, m’avait obligé à me mettre en levrette, d’écarter mes fesses en tirant fermement sur mes lobes fessiers… Cette posture avilissante, cette lame glissant sur cette partie intime de mon corps, éveillaient mes sens. Ma queue se raidissait, j’appréciais cette nouvelle épreuve, Madame Marie me rappelait ce besoin d’être ainsi traité. Sous son joug, vulnérable, j’assouvissais mes pulsions, avec la possibilité d’être enfin ce que j’étais ! Je me sentais brisé et soulagé ne m’expliquant pas ce sentiment ambivalent. Plus je m’enfonçais dans le vice et plus je renaissais, plus je me perdais dans ces méandres immoraux et plus je me retrouvais, moins j’existais et plus je vivais. Je ne devenais pas un esclave, je l’étais, dans ma nature profonde ! Je rendais les armes avec pour seules perspectives subir, me taire, m’offrir, accepter, progresser et me donner. C’était certain, je glissais dans la dépravation, perdais mon humanité parce qu’en proie à l’asservissement de mes sens...

- Quand on est un esclave de Monsieur le Marquis, la première chose qu’il exige, c’est un corps d’esclave entièrement glabre. Et ce travail de supprimer tout poil me revient souvent… Mais par principe du temps que je passe à raser un chien ou une chienne, j’ai l’habitude de me faire payer en nature. Alors, tu vas rester en levrette sur cette table et approcher ta langue du bord. Tu vas me lécher la chatte et tu as intérêt de donner du plaisir, sinon gare à toi, je serai intraitable envers une lope de ton espèce. Tu es là pour notre plaisir, à nous les Dominants, alors applique-toi, ça vaudrait mieux pour toi…

Madame Marie souleva sa jupe noire en skaï et je découvris un porte-jarretelle noir magnifique. Elle ne portait pas de culotte. La cuisinière s’approcha de ma bouche que je m’étais empressé d’ouvrir par crainte de ses représailles en cas de désobéissance et de son sadisme avéré. J’étais dégouté de lécher un sexe féminin, mais résigné je n’avais pas le choix, je me devais de tout accepter de par mon nouveau statut d’esclave. J’ai dû mettre une bonne dizaine de minutes passant ma langue sur son clitoris, entre les parois de son vagin, à lécher ses lèvres intimes, avant de l’entendre jouir entre mes lèvres et ma langue alors qu’elle me maintenait fermement la tête contre sa chatte de ses puissantes mains. Je buvais sa mouille par contrainte… Je pensais être tiré d’affaire quand elle m’exigea de ne plus bouger en cette position en levrette sur cette table. Elle contourna la table pour se positionner derrière moi. J’attendis en silence sans oser me retourner quand j’entendis des frottements lesquelles je compris vite leur signification. Elle était en train d’enfiler un gode-ceinture pour venir m’enculer sur cette table…

(A suivre…)

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